KARL MET LE FEU AUX CHAMPS ELYSÉES

C’est jaune, c’est moche, cela ne va avec rien, mais cela peut vous couper la tête, déclarait Karl autrefois, c’était quand Sarkozy imposait à la France entière un gilet jaune obligatoire dans chaque voiture française. J’ai appuyé sur le gros bouton de la reine ibérique de Parisssse, toujours habillée comme une pouffe de la haute.

Mais, selon Jacques Brel, pour faire une bonne dame patronnesse, il faut avoir l’œil vigilant car, comme le prouvent les événements, quatre-vingt-neuf tue la noblesse. Ainsi, tricotons un pull de couleur caca jaune, car c’est ainsi que le dimanche à la grand-messe on peut reconnaître ses pauvres à soi . Un Karl à l’enfer et un Karl à l’endroit feront un beau gilet que l’on peut porter sur soie qui file un mauvais coton.

Et, pour faire plus vrai que nature, on convoque Victor Hugo et notre Dame de Paris avec l’ibérique Esmeralda, gitane rastaquouère des faubourgs, car aujourd’hui Quasimodo gîte chez la Pompadour, voilà une société de jeunes, très jeunes mais cons à la fois, qui retourne Paris comme une crêpe mais celle-ci est au sarrasin comme nous dit la Marine. Karl, avant hier soir, a fait un tabac sur les médias sociaux, car il a toujours du bon tabac dans sa « ta-bavière ». Le Hamburger qui a « pognon sur rue » nous gratifie de sa présence sur les « Gens Elysées » en présence de ses clientes, de plus de 80 ans qui en paraissent 30 après leur passage chez Ivo Pitanguy.

Bref, après avoir appuyé sur le gros bouton pour faire rougeoyer le logo Chanel sur l’avenue, la plus chic du monde, le rouge était mis, et il s’en suivit une fête plutôt destructrice qui vit le logo Chanel sur toutes les chaînes de télé du monde, mais Paris est toujours une fête ! Le créateur, après cela, retourna au Grand Palais pour fignoler son animation pour les collections de Haute Couture de janvier, que nous attendons avec impatience car, après la fusée, la Tour Eiffel, le casino et la plage, certains annoncent un hologramme de Gabrielle Chanel, comme la Maria Callas aujourd’hui à Lyon, une idée de Mélanchon, par ses temps troublés qui respirent 89. Il faut mieux commencer à avoir des amis sûrs.

Anonymode

Cahier de doléances du village de La Caure (Marne) en 1789 « Les impôts. « Les impôts nous surchargent : la répartition en est mal faite ; ceux qui ont les plus grands biens ne paient presque rien ; le peuple paie tout et plus qu’il ne doit. »