LA VÉNUS DE MICMAC RICCI

Après les colombes de Lalique, et l’affreuse série « Les Belles de Nina », sorte d’étron multicolore  couronné ; voici une nouvelle féminité, qui émerge chez l’espagnol, inspirée de la mythologie, en écho au patrimoine de la maison ! Inventer une déesse contemporaine d’aujourd’hui, mais celle-ci sera certainement une bimbo déambulant dans les couloirs des hôtels de la capitale, « c’est l’air du temps ». Une fragrance où le Magnolia rayonne tel un véritable bijou, et pour l’histoire…., les magnolias sont apparus avant les coléoptères, et bien sûr, la baronne Wildenstein, car des spécimens fossilisés ont été retrouvés et dateraient de 20 millions d’années avant sa première opération inesthétique.

Un flacon de parfum, tel un bijou en forme de coquillage au style art déco, une vraie innovation ! C’est une copie d’un flacon de 1960 de chez Tiffany & Co. ; Flacon de parfum en argent sterling avec coquille de mer festonnée ci-dessous.

Vénus, la déesse de l’amour et de la séduction, la beauté féminine de la mythologie romaine, importée dans la patrie de ‎Antoni Gaudí qui pourrait sentir non pas la moule, mais la palourde.

Vénus de Nina Ricci, une fragrance florale chyprée, et végane de surcroît, pour les wokismes parisiens et rechargeable pour les écologistes. Il faut bien plaire à tout le monde. Il paraît même que le flacon en verre serait recyclable ! Le verre est toujours recyclable, c’est comme Firmenich, il habite maintenant à Grasse ! Le prix n’est pas prohibitif, compter 130 euros pour un 80 ml, et si vous allez chez le seigneur des Arnault, cela coûte 240 euros le 100 ml, il faut bien que le seigneur vive. Non ?

FM

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