DANDY OR NOT DANDY

Connaissez-vous les Dandy’s Nights ? Avenue Montaigne, un grand hôtel aux stores rouges convie une dizaine de maisons de luxe et de la mode, au service de l’homme, pour les nouveaux Dandy.

Le mot dandy date de 1780 et c’est dans une ballade écossaise anonyme qu’un jeune homme efféminé surnommé Andrew (diminutif Andy), raillé par la population locale, notamment lorsqu’il se dandine derrière une jeune fille (Andy is dandeling).

Parmi les maisons présentes à l’événement, la participation de Cifonelli (Oeuf Corse), créateur de costumes sur mesure présentera ses techniques de taille en association avec la marque Vacheron Constantin. Personne ne dit s’ils seront on « Time ».

Le maître artisan de S.T Dupont dévoilera son travail du cuir en réalisant une patine à la main, tout comme le chausseur JM Le Gazel, les Ateliers Baudin, artisans lunetiers, expliquant quant à eux la tradition jurassienne centenaire de la conception de lunettes sur mesure. Nous lui poserons la question sur l’usine « Logo » lâchée lâchement par LVMH.

Une chapelière Pauline Brosset, un barbier Gentleman 1919, et la Maison Tamboite, spécialiste des vélos d’exception, invités pour la circonstance par Madame Hidalgo qui fait la chasse aux véhicules et qui est plus à l’aise sur un vélo que dans une voiture n’ayant pas son permis de conduire.

Les soirées Dandy’s Nights s’adressent aux clients du palace ainsi qu’aux clients des maisons participantes et aux journalistes. Montrer patte blanche oblige, les marques ne rigolent pas avec l’humour, à part Loic Prigent, l’humoriste de la mode, qui fait son « One Man show » au Bon marché.

Anonymode

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