Cette uniformisation de notre société et du consommateur, même les fascistes allemands n’avaient jamais réussi à l’obtenir. C’est le pouvoir d’aujourd’hui, celui que la société de consommation réussit à construire parfaitement autour de nous en détruisant les différences et la réalité de notre vie, et en particulier en détruisant le réel pour nous faire plonger dans un monde immatériel.
C’est la nouvelle façon d’être humain, et la France produit ce nouveau schéma commandé par nos nouveaux leaders les grands capitaines d’industrie qui nous font croire que notre vie ne serait pas supportable sans Iphone, et qui comptent sur le temps de cerveau humain disponible pour les marques de Luxe.
Ce culturalisme est en train de détruire notre pays, et on peut dire sans hésitation que le vrai fascisme, c’est le pouvoir de cette société de consommation. C’est comme une sorte de cauchemar dans lequel on voit son pays se détruire jusqu’à disparaître.
En se réveillant, on regarde autour de nous et on se rend compte qu’il n’y a plus rien à faire, que de crier ‘Macron !!! ‘ pour essayer de se raccrocher à une illusion.
Il y a eu dans notre pays, pendant la deuxième guerre mondiale, une empreinte qui a laissé des traces indélébiles : l’empreinte du fascisme et de la guerre.
Mais, aujourd’hui, il y a pire encore, il y a des outils beaucoup plus sournois et beaucoup plus puissants qui vont faire de l’homme un esclave (la télévision et l’Internet). La férocité des camps de concentration et de l’esclavage de l’homme par l’homme aurait dû nous mettre la puce à l’oreille. Cette démocratie d’une férocité si véloce, avec ces nouveaux instruments du pouvoir ambigus, ineffable, et habile, fait que rien de bon ne persiste sous son influence.