Bienvenue à la Fashion Week de Londres. Après le Brexit, Londres lance la première Fashion Week du continent Européen sans plus appartenir à l’Europe du business de la mode. Entre St Martin School, Université de Westminster et autres…, les britanniques vont exploser les pantones, moitié extravagants et moitié déjantés, entre la doyenne, Viviane à l’ouest du bois (Westwood), et la Wintour de vis (the screwdriver), la fashion de Londres prend la suite de la Fashion Week de New York et devance celle de Paris.
La Grande-Bretagne n’a jamais eu aucun respect pour tout ce qui est ennuyeux. Elle vulgarise et arrive promptement à une position pédagogique des choses : les britanniques passent d’homme grave à l’ennui aussi facilement qu’ils retournent leur veste.
Les vulgarisateurs de mode étendent leurs idées dans un lieu commun, et débitent mécaniquement cette effroyable mixure philosophico-littéraire dans des feuilles de choux appelées magazines.
La page a l’air pleine, elle a l’air de contenir des idées ; mais, quand l’homme instruit Français y met le nez, elle sent l’odeur des caves vides. C’est profond et il n’y a rien !!!
L’intelligence s’y éteint comme une chandelle dans un caveau sans air. Mais c’est un passage obligé de venir à Londres, ville la plus embouteillée et tentaculaire du monde. Il est vrai que cela n’est pas un big deal de faire deux heures de train pour venir dans la perfide albion.
Anonymode