« Cela sera au Grand Palais, noblesse oblige, » me dit la baronne de la Cystite Raynal, « qu’Hermès fait le grand saut en balayant tous les obstacles ». Mais, tous les sots sont périlleux. « Nous nous étalons sur des étalons » me dit la baronne toute émoustillée de venir dans l’antre de l’ancien palais de l’industrie tout en rêvant de pouvoir monter son « Ex-machina ». Hermès tente de reconquérir sa clientèle d’autrefois. Probablement qu’un opportun ou un érudit de bimbo-land en interne a suggéré au président, dans un Axel tournoyant, que la rue du Faubourg St-Honoré s’était transformée en annexe de la maison de la Chine à Paris.
Cela se déroulera sur la planète, non pas Mars, mais en mars sur la planète Hermès, que le grand jumping des moitiés de mondaines vont avoir le pied à l’étrier, un licol de la marque autour du cou et le mort entre les dents. Voici la bonne société parisienne du 16ème, mais « siècle » qui se présente pour se faire étrier sur la carrière du centre de Paris.
Un tapis de « sciure de mouches » pour un événement d’un microcosme que nous rencontrons aussi au premier rang des shows de Haute Couture, une belle brochette de bombes. Mais celles-ci sont à mettre sur la tête. Un jumping qui se finira par un bouchonnage exhaustif des participantes, les Vuittonnesses viennent pour cela aussi, confondant le pansage par le bandage, mais leur cécité, finalement, n’est qu’un point de vue.
Anonymode