Variété des matériaux qui font briller les bordures pour les souligner, comme le film « Tron » réalisé par Steven Lisberger, un trench classique transparent 3D pour réaliser une pièce « hybride » de toute beauté qui aurait dû gagner à Dinan, si les enjeux économiques n’étaient pas toujours en désaccord avec la perception du souffle magique de la création.
Vision des nouvelles technologies qui se mêle à une mode qui se confond avec notre vie de l’instant, Armine, jeune maman depuis, et que le Jury de la ville de la Duchesse Anne nous a permis de découvrir. La jeune arménienne élargit le champ des possibles et fascine par ses créations. La technologie s’est démocratisée au fur et à mesure des années et la mode suit cette voie avec les jeunes créateurs pour permettre de nouvelles expérimentations créatives et proposer aux consommateurs la mode de demain.
C’est ainsi qu’Armine donne cette image d’une vision supranaturelle, la fille spirituelle de Iris van Herpen ou la cristallisation de la mode que nous souhaiterions voir plus souvent, résolument moderne et surtout très créative. Armine imprime sa patte contre tous : contre ces meurtrissants, ces censeurs de pacotille, ces maringouins envieux, qui achevant de déchiqueter et sucer le peu de substance des restes des lions, n’avaient pas vu ce qui était éclatant de Talent. Dors paisiblement petite fille, le talent n’est pas toujours récompensé, mais gardez votre enfance intact car le génie, c’est l’enfance retrouvée en abondance, et cela personne de comptable ne peut s’y confronter.
« Son travail sera exposé les 24 et 25 avril à la Galerie Joyce. Je vous engage à y venir, non pas pour regarder, mais voir la naissance d’une créatrice. »
Anonymode