C’est la décadence des écoles de couture. Les hommes et les femmes sont devenus à force de l’habitude du peu, des iconoclastes. Ils difforment les jeunes esprits pour leur faire croire que la mode, c’est eux, alors que la mode, ce sont les autres. Ces « vêtementeux » confondent exception culturelle française et polichinelle en goguette pour carnaval. Voici l’histoire et la chronique des échecs de défilés médiocres qui apportent au fromage leur décadence et aussi l’inexorable décoration du sens non esthétique, de la mode Anglo-Boxon.
Le mieux aurait été de ne pas s’en vanter et de ne rien montrer, mais ils sont tellement sûrs de leur condition d’orgueilleux dévorés d’ambition, qu’ils claironnent à tout va « regarder comme nous créons le beau». Un « an pire » où tout va encore plus mal qu’ailleurs. Des élèves qui se prennent pour des « Saint-Laurent » alors que le seul « Saint-Laurent » que je vois ici, est le fleuve du même nom celui de la déconvenue et qui gèle chaque saison.
Ils ne sont ni des créateurs ni des couturiers dans un style factice et ne manquant pas de fausse chaleur. Il ne restera qu’un curieux « Don qui Chiotte » certainement hardi qui transpercera ces moulins à « Pets » pour les découvrir. Nous sommes à la convergence de ce que la mode était hier et de ce qu’elle sera demain, un rien pour un tien. Ecole hors pair, La Parsons forme des élèves qui pensent que le point de « feston » et un point pour veston.
On leur fait croire qu’ils seront les couturiers de demain alors qu’ils ne seront ni créateur ni couturier ni même designer. Appréciez sur les photos ce que les Etats-Unis donneront demain et ce que prépare l’IFM pour l’avenir, Marrant Non ? Dans la mode, la vie oscille comme une pendule de droite à gauche, de la souffrance à l’ennui, et je me suis bien ennuyé, mais peut-être que demain sera meilleur.
Anonymode