Le 59ème étage de la Tour infernal ou pas ? Coperni, à une lettre près, comme l’astronome polonais, pour un show dans les étoiles, offre une vue sur Paris pour contrôler l’univers de la mode. Mais, ce mardi matin, plein d’humidité, les bimbos de la Fashion ont vu le temps s’assombrir, juste avant le début du défilé. Normal car les tenues sont à en pleurer, cela drache comme disent les gens du nord et les spectateurs ont sorti leur parapluie qui n’était pas eux de Cherbourg.
Le duo s’est rencontré en 2009 à Mod’Art International à Paris. Voilà, certainement le problème ! Il est vrai que les gens qui refusent de vous inviter sont souvent des incertains, et de surcroît souvent pas les meilleurs ! Voici la mode dans un prosaïque descriptif de la minutie manquante, découpant les couleurs, inspectant l’atome et pointillant l’éléphant pour le côté pachydermique. Ils finissent par donner aux yeux de l’esprit la sensation insupportable d’un sentiment d’un corps en tôle brillante qui ne fait que de vous éblouir, et qui vous empêche de voir les « Mûres », bien connu les mûres ont des abeilles.
Il y a assez de bitumeuses comme cela et les choses vulgaires n’ont pas besoin d’être augmentées par un nombre qui submerge jusqu’à l’écœurement. Que l’on se passe le mot concernant ces couturiers faiseurs de bric-à-brac, se dissimulant derrière des paradoxes truculents et des axiomes pour la populace. Voici le buzz révolutionnairement mou, pour un contre-pied brutal de toutes les idées préconçues acceptées par leurs congénères… les singes. Mais, l’important n’est pas de descendre du singe car l’essentiel est de ne pas y remonter. Et du haut de la tour qu’il pensait « Mon Parnasse » se trouve exsangue de poésie, en bas je regarde le vide et j’aperçois le cimetière Montparnasse, et je pense que les cimetières sont toujours éclairés au néant comme cette collection.
Anonymode