Un soutien-gorge de satin rose doté d’un bonnet incisé laissant dépasser un mamelon au téton que seul Fourniret voudrait téter, ou encore une culotte de lanières serpentant autour de protubérances abdominales faisant ressortir des bourrelets, que seul Beigbeder voudrait attacher au Baron. Un must paraît-il, mais pas pour moi, serais-je atteint par cette étrange maladie ; la grossophobie ?
Une designer australienne, qui n’hésite pas à se mettre en scène en montrant son propre corps très généreux, et mettant en avant le « Uluru » que constitue celui-ci, ainsi que ses vergetures, souhaite sublimer la « Grande Crevasse », le sixième ouvrage de Roger Frison-Roche. Voilà une idée bien grotesque mais la mode est ainsi ! Elle passe de l’anorexique chronique à la rousse pulpeuse qui chaque seconde s’enfourne dans le buffet (campagnard gratuit) des milliers de calorie par jour de pâtisseries orientales, mettant incontestablement sa vie en jeu. Mais, le buzz n’a pas de prix et obtenir 50 000 followers sur Instagram avec sa surcharge pondérale vaut bien une « masse ».
Avec sa coiffe alsacienne est le bonnet à grand nœud de la Basse Alsace. Sait-elle que c’est un symbole national ? En effet, en 1870 l’Alsace, devenue province Allemande, de nombreux alsaciens s’expatrient vers d’autres provinces françaises, et pour montrer leur attachement à la France, les Alsaciennes s’ornent du nœud de la cocarde tricolore.
Voici l’ambassadrice « apiculteuses » de bimbos, qui veut continuer à peloter son « essaim » laissant « MeToo » sur le pavé. Quant à moi, je m’éloignerai de cette créatrice hystérique de peur du vide sidérale qu’elle représente. Qu’elle mange des glaces (miroir), cela la fera peut-être réfléchir ! Non ?
Anonymode