MONARCHY LA MARQUE ROYALE

Devons-nous nous résigner interminablement à n’être que les hérauts et les exégètes soumis de l’infiniment reproductible ? Regardez la mode puis régurgiter, redire les mêmes histoires, synthétiser les mêmes pensées, déclamer les mêmes vers comme la parure de paon. Eh bien non, alors allez chercher et trouvez une marque en dehors de toute « Monarchy » où la mesure de l’imaginaire donne au monde quelque chose de subtile et de sublime à la fois.

Voilà donc la poésie du beau, un instant par lequel toute la mémoire admet de se taire, pour laisser place au jaillissement. Et que si vous devenez royal celle-ci vous emportera dans l’ardeur d’un jeune businessmen pour psalmodier en votre cœur la poésie du chic. La « Monarchy », finalement,  n’est que la tyrannie du beau ? De quoi faire pâlir les Français et leur roi Louis XIV, chantre du luxe de l’hexagone.

La voyez-vous là, qui vous guette, la « Monarchy  » de Londres aux yeux de louve avec ses princes sans origine qui vous prendront dans leurs filets de la non raison ! Et c’est bien normal, car la moindre piqûre d’épingle et de passion de l’âme est suffisante à nous ôter toute inhibition de la « Monarchy » du monde des achats raisonnés.

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