Parce qu’en bonne cheftaine de « l’An Pire » britannique, ce n’est pas quatre mariages pour un enterrement, mais plutôt quatre modèles pour une inhumation. La maison Alexandra Sipa fait concurrence à notre hamburger national, dans le sens où réaliser un morceau de viande entre deux tranches de « cake », particulièrement apprécié dans la profession, elle reste une créatrice fille de boucher plus que de couturier.
La britannique, doué seulement en 140 caractères, poétesse de mode, nous donne sa prose où les vers s’y sont mis, qui aspire au grand sans pouvoir l’atteindre, et essaie de fuir la vulgarité sans pouvoir lui échapper. Le « fast foutre » pas « King » mais complètement « Kong » de la mode en Grande-Bretagne est tombé, depuis le Brexit, dans un trou plus noir que les parties de jambes en l’air de Bojo. Sa prose ne dépasse plus les frontières, mais pas la peine car les gens de goût sont partis outre-Manche. Avec leurs poignets mousquetaires, ils pensaient qu’ils étaient Français, restent les autres qui rêvaient d’intelligence artificielle, alors qu’il aurait fallu d’abord se préoccuper de l’intelligence tout court. Mais, depuis le Brexit, un grand nombre « d’homos sa pince » ont disparu. Ceci explique peut-être cela.
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