La Stella May Day a maintenant une responsabilité officielle au-delà de sa marque en tant que conseillère spéciale du développement durable chez LVMH – Moët Hennessy Louis Vuitton, le Seigneur des Arnault lui demande « « Help! » Help, I need somebody Help ».
La mode, c’est le changement, et autrefois, cette observation se référait aux vicissitudes vestimentaires allant de la palette des couleurs de vos collants, aux tissus de vos tailleurs. Cependant de nos jours, ce changement englobe beaucoup plus, et pour la grande prêtresse de la mode éthique, Stella Mac Quarter, reconnue pour son rejet passionné de tout ce qui vient de l’animal y compris son mari. D Grumler, d’ailleurs, vous dirait que les ordures c’est glamour, prêchant pour une paroisse qu’il connait bien.
« Le fait que le Seigneur s’adresse à moi en tant que femme de l’industrie de la mode pour obtenir des conseils et des solutions, c’est pour moi, un grand honneur et je pense que c’est un moment historique « ob-la-di, ob-la-da ». Stella est ici pour « fournir des solutions, » et s’est associée à LVMH en début d’année, après avoir racheté l’année dernière à Kering sa maison sur « Abbey Road. » La voilà maintenant propulsée au « firme maman » et papa bien sûr du luxe Français.
Au cours de ces dernières années, la mode a fait des ravages sur l’environnement, et les entreprises sont maintenant désireuses de se repositionner pour ‘être à l’avant-garde du développement durable, et éliminer complètement les animaux et la fourrure afin d’oublier pour un temps l’histoire de l’homme de Cro-Magnon .
« Pas de fourrure, pas de cuir ? Ce n’est pas possible ! s’était esclaffée Cabine Roitelet, et comment va-t-on faire pour nos parties fines et notre Porn Chic ? » Il fallait finalement la courageuse Stella pour découvrir que l’horreur est humaine, et sa façon d’influencer François-Henri Finault restera dit-on pour elle dans les anales. La perspective de travailler avec Arnault et sa famille est « incroyablement excitant » surtout avec le fils du Seigneur bientôt Calice à la place du Calice.
Pourtant, la Cartney met en garde contre le fait que parler ne suffit pas, (il faut aussi sucer toutes les pollutions de la terre) « All You Need Is Love ». Si nous ne parvenons pas à concilier les besoins de croissance de l’humanité et la souffrance d’une planète à bout de souffle, nous courons à la catastrophe. C’est une révolution qui doit être dans nos esprits tout autant qu’à l’échelle mondiale. Il faut concevoir un nouveau mode de relation avec la nature et inventer une autre croissance. Et donner ce monstre à une fille à papa n’est probablement pas une solution. Malheureusement, je ne crois pas que la Stella soit plutôt, « my Penny lane is in my ears and in my eyes »
Anonymode