NATHALIE RYKIEL LITTÉRACURE POSTHUME

Elle est lourde, elle est bavarde. Hélas ! Ses idées ont la même profondeur de jugement et la même délicatesse de sentiment que les concierges et les filles entretenues. Que quelques hommes ou femmes, c’est selon, aient pu s’amouracher de cette ‘la trime’. C’est bien la preuve de l’abaissement de la nature humaine de ce siècle.

Je ne puis penser à cette créature sans un certain frémissement d’horreur. Si je la rencontrais je ne pourrais m’empêcher de lui jeter son bouquin à la face. Monstre de la littérature posthume, la fille de Sonia Rykiel est passée hier matin sur France Inter pour raconter ses histoires de famille.

L’écrivaine plate, par excellence, jugeant de la beauté des mots au même titre qu’un morpion tombé par hasard dans l’Olympe sur le cul d’une DS. Son processus créateur, par opposition à celle de sa mère, est comme une indigestion. Tout d’abord, c’est une ingurgitation énorme, sans mesure, lourde d’épices et qui lève le cœur. Enfin, son talent trouve sa forme parfaite dans l’expectoration.

Un bla-bla horrible de phrases et de mots vulgaires nous portent à penser qu’elle n’a rien et jamais écrit. Toutefois, une chose est sûre, c’est qu’un nègre lui a certainement introduit son calame.

Il faut mieux parfois laisser les morts là où ils sont, et ne pas aller les tartiner de souvenirs hideux, et plutôt laisser aux autres l’image de cette belle personne, qui elle ne vous a rien demandé, et ne vous l’aurait certainement jamais demandé.

Nous ne trouvons jamais dans les écrits des autres, que ce que nous y mettons nous-mêmes, la communication est une apparence, et vous n’y apparaissez même pas.

Anonymode

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