PORTS 1961, UN BRIN DE COLETTE

C’est le début de la fashion week Milanaise qui commence saupoudré non pas de parmesan mais de parmi-gigolo. La collection démarre par la marque “Ports 1961” au Musée National des Sciences et de la Technologie, Leonardo de Vinci. Le créateur Vukmirovic présente une tendance graphique où des signes cabalistiques sont imprimés pour nous transmettre le mot «amour» en image subliminal. Pour l’icône de la mode à la Colette, un T-shirt le point levé, comme pour nous faire comprendre qu’ils sont adeptes du Fist-fucking. Ah, amour, amour quand tu nous tiens !

Le directeur de la création, Milan Vukmirovic, s’interroge, et donne des sweets avec “Black Lives Matter” imprimés bicolore, comme s’il voulait faire passer le message aux jeunes : “c’est le temps pour vous de connaître un peu le côté rétro de cette époque d’or des années 60 à 70, où le monde s’amusait.

Le co-fondateur du célèbre concept Parisien, ouvert en mars 1997, Colette, responsable de l’image globale du magasin (vitrines, merchandising visuel) et de tous les achats (meubles, objets de design d’intérieur, cosmétiques, Prêt-à-porter féminin et homme, et… j’en passe) montre une collection construite comme une armoire normande. Normal pour un acheteur de meuble !

Présentant des shorts et des pantalons imprimés des motifs tribaux : “amusants ou intéressants ?”, comme disent les Anglais quand cela ne leur plaît pas du tout.

Mais, la marque “Ports 1961” est devenue très tendance et populaire, car les jeunes sont attirés par le nouveau, l’audacieux et avec beaucoup de “style” comme ils disent. Il est vrai que ces jeunes là ne disent pas grand chose de cultivé et d’intéressant. La marque devrait alors connaître une croissance.

Anonymode

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