PARCE QU’AU FOND ON N’EST PAS SI CON

Les défilés de la Paris Fashion Week sont terminés et Chanel présente «Flying Cloud», collection de haute joaillerie inspirée de l’univers marin. Après le sommet de la Tour Eiffel, bienvenue dans une plongée en eau profonde dans une rivière de diamants verts.

« Flying Cloud » est le nom du yacht de Hugh Grosvenor, second duc de Westminster, l’un des amants de la grande couturière française. Hugh, surnommé «Bendor», rien à voir avec ses performances sexuelles, aime faire découvrir l’univers marin à sa belle du sud de la France. Lors de nombreuses croisières sur son yacht qu’il organise, un seul mât luxueux, pour visiter une cabine en sous-sol sur la French Riviera de diamants. Repos bien mérité après sa guerre contre les Boers pour lui, et l’occupation pour elle, quel boulot !

Diamants, saphirs, perles, mais surtout, les perles qu’elle collectionnait. La collection « Nuage Volant » est pour Chanel un « must », et pour la cliente, c’est acheter un nuage à prix d’or pour qu’il finisse par s’envoler, le comble du luxe ! A noter, un collier plastron, nœud d’or blanc, de saphirs et de perles de culture et un cordage souple d’or blanc et de diamants.

La maison touche, quand même, le fond en venant nous expliquer que le concept serait le bateau de Hugh Grosvenor, un nom au demeurant pas à coucher dehors, puisque c’est le nom du plus célèbre Hôtel de Londres. Et chacun sait que le duc était plus adepte de la chambre de la « Villa La pausa » qu’il aurait payé à Madame Gabrielle. Les seuls fonds marins, qu’il aurait visité, sont les fonds du Kamasutra, mais dans quelle monde Vuitton !

Anonymode

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