Un budget de Qataries pour une Haute Couture de « cata rien », Rousteing ou l’handicapé de l’aiguille, le tueur plagiaire de la mode reste sans inspiration quand il faut donner la quintessence de son métier. Il montre, enfin, son vrai visage, celui que nous avions décrit, il y a déjà quelques mois, le visage du zéro de la création. L’homme couture le plus démuni de la Fashion Week, c’est un lexicographe amateur comme un crachat laissé sur le « faux bourg », martelant de son marteau aiguille le bons sens et la solitude de sa page blanche. Après Sorbier on peut constaté que devant les moyens de celui-ci et de la maison du même nom, Rousteing avec ses moyens illimités n’arrivent même pas à décoller du sol de quelque millimètres, alors qu’un vrai créateur avec peu de moyen, peut réaliser une collection si merveilleuse et envoûtante.
Olivier comme opprobre du métier, il abuse de la permission qu’ont les gens d’esprit à être laids. Un vermisseau né du cul de l’abbé Desfontaines, on n’a jamais employé autant d’esprit à nous rendre bête, il me prend envie de marcher à quatre pattes quand on regarde l’ouvrage, car cela n’est plus de mon âge.
Il est l’ennui du genre humain, un charlatan trompeur et vain changeant vingt fois son mithridate. Le nom même de ce baladin couturier souille les lettres de noblesse de la Haute Couture, où le mieux, pour lui, c’est le bien d’autrui. Ayant atteint son seuil de Peter, il est probable que ce coup de couleuvrine ne reviendra pas avant d’avoir choisi un créateur qui fera pour lui la prochaine collection.
Anonymode