Du blanc de la page vide, j’avance vers le « Gris » en rêvant de son effluve prochaine, aube indécise sur les mouillettes, tels un brouillard qui monte. C’est souvent vers l’azur au-dessus des cimes comme un éclair dans ce ciel qui se remplit de nuages gris encore assez espacés pour me faire admirer derrière l’azur bleu de mes rêves. Bientôt, autour de moi, les murs gris, le vent froid glisse sur la Seine jusqu’à la maison du Maître de Granville.

Et, dans le froid, je me promène plein de peines car, devant mes yeux, le monde, s’il n’est pas noir, il donne parfois l’espoir que les murs gris n’appartiennent pas à mes envies. En oubliant les regards qui cherchent, par la liberté des couleurs, un chemin, le parfum de micro-gouttelettes qui parfument l’existence des anthropiens et qui passent, sans nous sourire, laissant ainsi place à l’avenir triste de demain.

Parfum qui efface les genres et leur malheur, qui ouvre les yeux et les obstacles en disparaissant autour de nous pour oublier la fatalité, un murs gris qui n’est qu’illusion de parfum, comme le vent de la passion, gris et ensoleillé à la fois, J’adior.

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