JACQUELINE BOUVIER IN PARIS

Voici l’histoire d’une année passée à Paris qui a transformé une étudiante alors inconnue du grand public, Mlle Jacqueline Bouvier s’est vue sa vie transformée à jamais par son voyage dans la capitale Française. Je parle bien sûr, pour les Bimbos de la télé-réalité, de « Jacqueline Kennedy ». Avec son nom et son héritage, Française par son père, elle était déjà prédisposée à admirer la France, mais son année universitaire de 1949 à 1950 a cimenté sa passion, lui permettant ainsi d’absorber la langue et le pays de Louis XIV, où comment les Français ont dirigé le monde en sous-main par la Première dame la plus célèbre des États-Unis.

Dans une famille d’accueil aux rues étroites du quartier Latin, à l’angle de la rue Jean de Beauvais et de Latran là où s’élevait en 1552 la maison Grosse-Escriptoire de Guillaume le Bé. Habile fondeur de caractères romains, grecs, et hébraïques, il se trouva fort dépourvu quand il dut mettre en exergue typographiquement un texte cité, il inventa alors une ponctuation qui ouvrait judicieusement devant la citation et se refermait à la fin… Chacun bientôt baptisa « guillemets » ces signes conçus par Guillaume.

La petite Jacqueline suivait des cours non loin de là, à la Sorbonne, et comme si elle était dans un incubateur, son style, son esprit vif, sa façon de pensée ont été affinés par les rues de St-Germain-des-Prés et le bouillonnement des existentialistes. De Proust à Saint-Simon, sa culture était large. Son périple débuta à bord du SS De Grasse, un paquebot construit en 1921, et entre New York et Le Havre avec la Smith Collège Junior. Elle faisait partie d’un groupe de 35 jeunes filles de bonne famille pour un séjour linguistique en France.

À son arrivée, Jacqueline a d’abord perfectionné ses compétences en français par un cours en immersion de six semaines à Grenoble avant de commencer des études à Paris. « J’ai la manie absolue d’apprendre à parler parfaitement le français », a-t-elle écrit dans une lettre à son demi-frère, Yusha Auchincloss. Ses cours portent principalement sur l’histoire de l’art et la littérature. De la Sorbonne à l’École du musée du Louvre, en passant par le prestigieux Institut d’études politiques (connu sous le nom de Sciences Po) vous permettra de comprendre ce qui suit.

L’histoire raconte que la Première dame des Etats-Unis avait joué un grand rôle dans la crise des missiles de Cuba, et avait paraît-il dit à John : « Tu ne peux pas céder mais passer pour le président qui aura fait de cette planète un champs infertile pour 1000 ans serait pire ». Ce qui prouve que seuls les gens éduqués devraient diriger les autres. Les incultes eux ont montré dans le passé, qu’ils ont toujours fait parler les armes avant leur cerveau. « Grand Dieu », heureusement que les femmes sont là pour construire le monde de demain !!!

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