COPERNI LE PRODROME DE MODE

Coperni, les deux français Arnaud Vaillant et Sébastien Meyer qui n’avaient déjà pas faire de miracle chez Courrèges, reprennent leur marque « Coperni » en pensant qu’ils vont toucher les étoiles, et nous apprendre que la terre tourne sur elle-même et que la lune est un satellite de celle-ci. Les jeunes sont ainsi. Ils pensent qu’ils sont venus au monde très jeune dans un monde très vieux.

Le duo s’est rencontré en 2009 à Mod’Art International à Paris. Voilà, certainement le problème ! Il est vrai que les gens qui refusent de vous inviter sont souvent des incertains, et de surcroît souvent pas les meilleurs ! Voici la mode dans un prosaïque descriptif de la minutie manquante, découpant les couleurs, inspectant l’atome et pointillant l’éléphant pour le côté pachydermique. Ils finissent par donner aux yeux de l’esprit la sensation insupportable d’un sentiment d’un corps en tôle brillante qui ne fait que de vous éblouir, et qui vous empêche de voir les « Mûres », bien connue les mûres ont des abeilles.

Il y a assez de bitumeuses comme cela et les choses vulgaires n’ont pas besoin d’être augmentées par un nombre qui submerge jusqu’à l’écœurement. Que l’on se passe le mot concernant ces couturiers faiseurs de bric-à-brac, se dissimulant derrière des paradoxes truculents et des axiomes pour la populace. Les bimbos de la télé-réalité ne comprendront jamais, pensant être féminines et distinguées. Voici le buzz révolutionnairement mou, pour un contre-pied brutal de toutes les idées préconçues acceptées par leurs congénères… les singes. Mais, l’important n’est pas de descendre du singe car l’essentiel est de ne pas y remonter.

Anonymode